Méditées qui se filent dans cette immensité
Percent le néant du royaume céleste
Corps dénudés soumis au souffle convertit
En un alizé sucré et évanescent
Extase d'un moment que l'amour sublime
Couvrir de tendresse ses courbes angéliques
Souffle haletant d'un désir bâillonné
Au dessus des flots, leur esprit retrouvé
Et dans l'absolu ne faire plus qu’un ....